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Communiqué de presse et son annexe envoyés le 5 mars 2015 aux médias.
Bravo à l’équipe de Ste-Croix qui se bat depuis la fin des années 90 !
C’est une victoire d’étape. La lutte contre le projet de Ste-Croix n’est pas terminée…
France Inter3 décembre 2014France
Les Grünen allemands : « On a beau avoir de belles éoliennes dans le paysage, les émissions de CO2 continuent à augmenter. »
Extrait du 5/7 | France Inter | 3 décembre 2014
On le sait, l'Allemagne, contrairement à la France, a mené une politique anti-nucléaire ces dernières années et donc elle a compensé avec ses centrales à charbon.
D'autant plus polluantes ! Ce sont d'ailleurs ces centrales à charbon qui sont aujourd'hui sur le gril. Le conseil des ministres outre-Rhin examine un plan national d'action pour le climat. Les discussions s'annoncent animées. Cyril Sauvageot est notre correspondant à Berlin :
Aujourd'hui près de la moitié de l'électricité produite en Allemagne provient des centrales au charbon. La sortie du nucléaire décidée en 2011 après Fukushima a encouragé le développement rapide de la filière. Avantage : le charbon est une source d'énergie peu coûteuse, il est disponible en abondance. Revers de la médaille : les centrales polluent énormément, quatre des sites les plus polluants d'Europe se trouveraient sur le sol allemand, selon un rapport du WWF.
Une absurdité que dénoncent les écologistes dans l'opposition. Le député Vert Anton Hofreiter : « On ne peut pas se contenter de remplacer les centrales nucléaires par des centrales au charbon. Le marché de l'électricité ne doit pas continuer à dépendre autant des énergies fossiles. On a beau avoir de belles éoliennes dans le paysage, les émissions de CO2 continuent à augmenter. »
Si l'Allemagne veut tenir ses engagements en matière de réduction de CO2, plusieurs de ses centrales devront sans doute fermer. Les ministres de l'énergie et de l'environnement se sont mis d'accord pour imposer aux géants du secteur une baisse de leurs émissions, 22 millions de tonnes en moins d'ici 2020, un effort considérable qui pourrait coûter cher selon le BDI, le syndicat de l'industrie, jusqu'à 15 % de hausse des prix et des dizaines de milliers d'emplois menacés.
Berlin, Cyril Sauvageot, France Inter”